Repaire
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Repaire

Là où tu n'es pas chez toi....mais tente toujours.
 
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 [journal-3e et 4e page] Rencontre.

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alybaba
Mysérable
alybaba


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MessageSujet: [journal-3e et 4e page] Rencontre.   [journal-3e et 4e page] Rencontre. Icon_minitimeVen 13 Mar - 15:43

Me revoilà. Tu m'as manqué tu sais? Et oui je voulais écrire...j'aime écrire...pourtant je ne l'avais jamais fait avant c''est deux pages...hormis une fois où je te l'ai déchirée, de peur qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains.

Mais là j'ai envie d'écrire, je viens de te relire, et je me rend compte que c'est important. Oui car à tout instant je peux relire. Même si tout est dans ma tête, dans quelques années, même les mauvais moments seront de bon souvenirs.

Depuis que je t'ai quitté beaucoup de choses se sont passées. Certaines même alors que je t'écrivais dessus, étaient déjà réalisées.
Je vais tenter au mieux de te les conter. Mon esprit est, je l'avoue, ailleurs...je venais juste te récupérer. Car cette chambre si gentiment prêté, je la quitte, j'ai trouvé l'endroit où je veux dormir...mais je prend le temps de te raconter, avant la prochaine il risque de se passer un petit temps...je serai occupée.


Après être partie, savais tu que je lui ai envoyé un petit mot? Non... pourtant je l'ai fait. Je n'ai pas pu mettre tout ce que je ressentais à son égard comme je l'aurais voulu. Peut être pour ça que je n'ai eu aucune réponse. Il a fallu que je lui écrive le jour de la défense du château aussi...si ça tombe il est blessé et je le sais pas....et c'est pour ça que j'ai pas de ré..non...simplement il a pas répondu et voilà. Qu'importe. Je n'y pense même plus.

Comment te raconter mes derniers jours...mes dernières semaines...par le début..ce début commence il y a fort longtemps, au début de ta première page...oui lorsque je le rencontre. Non...pas lui.
Enarion venait de quitter Aria, enfin non elle venait plutôt de le quitter. Et lui prenait un malin plaisir à la chasser.
Et ce jour là j'ai fait une grosse bêtise...Il faut dire ça m'amusait à l'entendre dire qu'il l'avait encore eue. Maintenant quand j'y pense je ne sais même pas pourquoi, au fond sans elle...enfin soit.
Donc ce jour là je me balade dans la foret, là où les orcs aiment se reposer. Un homme s'y repose. Sa tête me dit vaguement quelque chose. Il aurait fait peur a plus d'un, peut être à moi aussi si je ce genre de peur je pouvais l'éprouver. Non ça aurait pu être n'importe qui, je serais restée, jusqu'à son réveil. Bah oui j'allais pas le tuer...pas peur mais pas débile...j'en étais complètement incapable.

Il se réveille, peut être ne dormait il pas du tout déjà à la base, en tout cas je me met à parler et ça l'énerve. Pourtant on parle pas mal. Et la nuit retombe aussi vite qu'elle s'était levée. Ça passe vite à parler. Étrangement il ne me fait rien. Il aurait pu tout faire ce qui lui passait par la tête, je n'aurais rien su faire pour l'en empêcher. Il fait noir, j'ai pas envie de rentrer. Autant dormir là. Le matin on se sépare, chacun de notre coté, il a qu'une envie c'est me fracasser la tête, je l'énerve vraiment beaucoup à parler autant. Il me le dit et me fait comprendre que je n'ai pas intérêt à revenir. Pourtant...il accepte ma demande...Oui...demande d'aller fracasser une autre tête que la mienne...Encore maintenant je me demande ce qui m'a pris..probablement avait elle dit quelque chose qui m'avait énervé je ne m'en rappelle sincèrement plus.

Dans tout les cas il tient son contract, sa tête contre quelques cynides. Il m'en apporte la preuve, je lui envoie son du. Et je ne l'ai plus jamais revu, hormis une fois en ville où les gardes me couraient après, au détour d'une ruelle il était là et il a fait le boulot des gardes... tellement bien fort que je ne m'en rappelle même plus.

Les mois passent...je pense être heureuse. La deuxième page se passe.
Alors que je me balade je le rencontre...en compagnie d'Estendra. Je me tais...je ne dis rien...je garde ma rage pour moi...par contre mon frère la ressent, lui qui n'était pas loin et en a fait une affaire toute personnelle...je lui ai pourtant dit de se calmer...chose qu'il a enfin compris, il était temps.

Je rencontre à nouveau cet homme...il a changé. Il est censé faire encore plus peur. Pourtant..je me rapproche de lui une fois encore dans cette clairière...il est adossé à un arbre, il dort? Non..il se réveille avant même que je puisse poser un mot. Il ne me fait rien...pour commencer. Provocation en tout genre, il me dit pouvoir me faire de ces choses que je n'imagine même pas, je sourit, je l'en crois incapable, je le nargue...et on se plonge dessus.

Ses bras déploient une puissance que je n'aurai jamais droit, mais je me veux agile, et j'esquive le premier coup de justesse, ma vie est en jeu, je ne me pose pas de question et riposte, un beau plat de ma lame sur son visage...il s'étale. Je pense avoir gagner...je me rapproche...non trop tard...il est déjà debout, je le vois pas arriver...tout devient noir.

Le temps passe un peu, je me réveille, il n'est plus là. Je le recherche, et..j'ai pas de mal à le retrouver, il était pas loin. Il est trop fort pour moi cela va s'en dire....si je suis réactive j'ai de toute petites chances...mais je ne peux pas l'être tout le temps ainsi, et au final je me fatiguerais à l'esquiver... La nuit tombe à nouveau comme à notre première rencontre...

Je lui propose à manger, quelques lapins...il a cas faire le feu. Je continue à parler autant, il me répond c'est déjà ça, même si il dit que je l'énerve, pas autant que ça, sinon il lui aurait suffit de me faire taire. On mange, lui très peu. Peut être je les avais trop cramer je ne sais pas. En tout cas il faisait tout pour avoir l'air d'une brute, pourtant dans ses manières de faire, de manger, et au fond...de ne rien faire prouvait tout le contraire.

Je me plaisais en sa compagnie. Moi seule depusi si longtemps à présent...j'avais trouvé quelqu'un qui m'écoutait, même si ça l'énervait, et si j'avais malheur de parler de celui qu'il détestait je le voyais bien ça l'énervait. Le mollusque qu'il l'appellait. Ca m'avait fait sourire. Ils savaient passe piffrer, et je n'avais jamais su pourquoi. Je m'en fout à présent.

La nuit est tombée depuis un certain temps, nos ventres sont plein, quelques gorgées de son alcool dans la tête, le feu s'éteind petit à petit, je le fais repartir de plus belle.
Lui il continue à me provoquer, me disant que je suis incapable de tout. Je suis plus ou moins d'accord. Pourtant ça me vexe. Je lui demande alors d'être mon maitre. D'arme bien sur. Il n'est pas rodeur, mais je suis sure qu'en le suivant je pourrais apprendre quelques affaires. Etonnement il accepte. Si je me tais un peu plus ou que je dis moins de choses idiotes. Ca me va.

Mais il a toujours pas confiance en moi. Et continue à me traiter d'incapable. Après un long instant à le pesuader de me faire confiance et d'enlever l'armure qui le protège, je tente de lui prouver qu'au moins mes mains peuvent servir, et qu'elles sont capable de certaines choses. Je le détend comme je peux.

La fatigue se fait ressentir, je me tais de plus en plus, lui a déjà les yeux fermé. Je m'assied à ses cotés, le froid tombe, je frissone, le sommeil m'envahit. Ma tête se pose sur lui...il me prend dans ses bras.

Le lendemain un mot sur mes genoux "je savais bien qu'il se passait quelques chose entre vous" ou quelque chose du style. Je reconnais son écriture. C'est Enarion. Pff! comment pouvait il me dire une chose pareille, lui qui était toujours dans le lit d'une autre, et moi qui ai toujours été fidèle, et n'ai, de lui, jamais détourné le regard. Quand j'y repense, à ce moment là j'aurais du lui confirmer ce qu'il pensait et qui était faux. Mais je ne suis pas comme ça...

_________________
La brume du matin est encore présente...il est tot, les oiseaux commencent seulement à chanter. Pourtant on se lève, il faut se mettre en marche. Un brin de toilette avant le départ non? Oui. On met un ptit temps à trouver un lac, il a l'air désert, parfait, pas de soucis à se faire. Lui sans gêne il entre dans l'eau...moi je vais plus loin, à l'abri de ce massif de roseaux. Je me baigne tout va pour le mieux, je m'amuse à plonger pour aller admirer toutes ces belles chose au fond. Mais je ressort en vitesse..une..drôle de bete vient de me faire pe..de me surprendre. J'ose plus rentrer dans l'eau. Je vais marcher un peu, j'arrive là où il se baigne, ses vêtements son à terre. J4ai pas envie de marcher, j'ai pas envie de bouger...on est bien ici.

Je les ramasse donc et les emmene avec moi. Après tout je lui avait dis que jlui ferais sa lessive de temps en temps, contre un peu de détente de sa part. Je pense déjà plus à la drôle de bête et je réentre dans l'eau, y plonge ses vêtements, les frotte comme je peux, sans savon c'était un peu inutile à voire leur état, m'assure qu'ils sont bien trempés et va les étendre sur quelques branches.

Je m'essuie dans ma cape et réenfile les miens. Il est là; me demande ce que j'ai fait de ses fringues, je les lui montre, je sourit, je me retourne. Même si elle est tro ptite pour lui je lui prete ma cape, pour se sécher, et se protéger. Ca me gênerait moins...

J'aime de plus en plus être avec lui, il me fait sourire, chose qui depuis longtemps ne m'était plus arrivée. Mais toujours on se provoque, sur tout et rien, sans jamais voire l'ombre d'une preuve ou l'autre sur qui est capable de quoi ou non. On finit par se mettre d'accord sur un paris stupide. Pourtant je savais le perdre d'avance...Si il gagnait il voulait voire mon chez moi. Moi même je ne l'avais plus vu depuis bien longtemps. Depuis mon arrivée au CE je n'y était plus jamais retournée, n'y avait jamais emmené quelqu'un. J'accepte, je ne sais pas pourquoi, c'était mon endroit à moi. Moi si je gagne, il devra dire qu'il avais tord, chose qu'il n'a jamais dite encore.

On se remet en route, le midi arrive bien vite, on mange chez quelques paysans, à ma manière je les paye, tout seul je suppose qu'il les y aurait obligé. Il mange pas grand chose, le bouillon ne lui dit rien.

On continue à parler de tout et de rien...pour finir par se dire que comme il est sur qu'il gagnera le paris, autant aller directement chez moi, pour avoir un toit en dessous du quel dormir plutot qu'attendre le lendemain. Nous voilà donc en route vers ma ptite cabanne au fond du bois bien planquée. En tout cas...il me plait de plus en plus, ça à l'air réciproque...

On se le dit...on fait une pause sur le chemin, je m'assied tout contre lui...je suis bien et je ne cesse de le regarder. Il aimait à présent m'entendre parler, me regarder avec autant de passion que moi. On se remet en route main dans la main.
Il me plait...je lui plait...pourtant il me dit être avec quelqu'un. Ca aurait été trop beau. Comme par hasard le nom de sa compagne m'interpelle, et je sourit tristement en entendant son nom.

Estendra... Je ne peux m'empecher de lui faire remarquer qu'elle passe ses nuits autrement qu'en sa compagnie...Je pense que ça l'étonne. J'aurais du me taire. Ou pas. Au fond ça ne voulait rien dire, il avait bien passé deux nuit en ma compagnie, sans ambiguité, sans arrières pensées. Sauf que là pour moi, à présent, je ressentais plus que de l'amitié envers lui. J'aimerais lui dire...mais je me tais. Je m'étais promise de ne plus jamais faire la même erreur. Au pire j'attendrai. Je n'ai que ça à faire de toute façon.

Nous voilà enfin arrivé, on ne s'est casi pas quitté des yeux, etn ous voilà chez moi. Enfin c'est un grand mot le chez moi. Ce n'est qu'une cbanne sans plus. Sauf qu'elle a bercé mon enfance et celle de mon frère et ma soeur. C'est là que nous vivions avant de partir à la rencontre d'autres gens.

On arrive à temps...un ours est à l'entrée, il a senti l'odeur de je ne sais quoi, il cherche à manger. Evidement dans un esprit de conservateur je plonge dessus, sans savoir à ce moment là qu'est ce qui fait autant de rafut dans le couloir. Et je me retrouve repoussée violement. On le laisse sortir, Il le fait fuir. Je pense ue tout est finit, je me calme, mais non il m'en retourne une. Comment pouvait-il me frapper? Pour ma stupidité de ne pas avoir réfléchit avant d'y aller me répond il. Je ne l'accepte pas. Mais maintenant je sais pourquoi, il avait eu peur pour moi probablement.

On rentre et s'installe...on se plait, mais rien ne peut se passer. On en parle..je suis un peu triste de ne pas avoir encore de chance. Pourtant il ne cesse de me faire comprendre qu'il envie de moi. Comment peut il me dire ça alors qu'il ne peut rien y avoir.

La soirée passe, je vais pas toute la décrire, je commence à avoir mal la main uen fois encore tss.
Sache seulement qu'au bout d'un temps, je ne peux plus m'empecher de le regarder, et je suis si près de lui...mes lèvres sont sur les siennes...

Il aurait pu me repousser violement malgré ses dires à mon égard, ça aurait été des plus normal..mais non..il ne me retient pas lorsque je les enlève, mais ne me repousse en aucun cas. Je m'excuse néanmoins...pourtant il me dit ne pas m'en vouloir...et si je ne l'avais pas fait, c'est lui qui serait venu. Il me dit en avoir envie, mais pas le droit. Je respecte ce choix, un homme fidèle se fait rare de nos jours...

Il faut se changer les idées, ça n'avancerait à rien de rester fixé dessus. Alors il me dit d'aller m'allonger sur le lit, il devait encore me payer la lessive de ses vêtements. Ce que je fais sans hésitation. Je m'allonge sur le ventre, hésite un instant, puis enleve ma chemise, la laisant tomber. S'en suit un massage des plus agréables. Ses mains sont douces et tendres, et me détend.

Une fois finit il se retourne, me laissant le temps de ré-enfiler ma chemise. Ile me respecte..j'aime. Je m'approche vers lui et dépose un baiser au coin de ses lèvres pour le remercier. Mais je ne peux m'empêcher de les y faire glisser jusqu'à la bonne place tant désirée. Deuxième volé...

On se redresse, file sur le canapé faire ce paris stupide, je m'empresse d'enfiler quelques verres, pour me changer les idées et en finir au plus rapidement. Il serait bon de dormir. Il repose une condition au pari, si je perd, comme on est déjà chez moi avant même que le paris soit finit...j'accepte, et la lui offre encore, avant la fin du paris. Troisième volé...beaucoup plus long...il m'attire à lui...cette fois je ne partirai pas...mon cœur bat à tout rompre, nos langues s'entremêlent en un long baiser, ses mains se perdent dans mon dos, je suis ailleurs, je ne pense plus. Tellement longtemps que je n'avais ressentit tant de douceur...tellement longtemps que ma décision est prise depuis un ptit temps, à me sentir aimée, même si il ne peut pas, tant pis, j'attendrai.

On se calme..difficilement il faut bien l'avouer...puis moi l'alcool me monte à la tête, j'ai bu quelques verres de trop, je n'arrive plus à réfléchir, il est temps pour moi d'aller coucher, avec lui à mes cotés, bah oui il voulait l'endroit le plus confortable et moi aussi.

Il me porte, me dépose et je sombre dans l'inconscience. Il m'avait promis que cette nuit il resterait avec moi...qu'il retournerait la voire les prochaines fois pendant que je dors...pourtant je le sens partir...j'ai froid...il me laisse seule dans mes cauchemars...

Dead...je t'aime...reviens...


Les heures passent...une légère brise vient caresser ma peau...la couverture se lève, l'homme que j'aime est là...il est revenu...je suis bien...j'ai eu peur...je ne suis plus seule...l'ai-je déjà été?
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